Le colletif des orchidées

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mercredi 2 février 2011

Petit rappel législatif et de circonstance

D'aucuns colportent le bruit que pour que la police puisse entrer dans notre résidence, il faudrait voter une résolution dans ce sens chaque année.

C'est méconnaître la Loi n° 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis qui stipule dans son chapitre II "Administration de la copropriété" et dans l'article 25:

"Ne sont adoptés qu'à la majorité de tous les copropriétaires le décisions concernant :

......................................

k) L'autorisation permanente accordée à la police ou à la gendarmerie nationale de pénétrer dans les parties communes."

Un grand mystère enfin résolu

Hier un copropriétaire a vu deux petits "jeunes" qui tapaient sur le haut de la porte du parking souterrain, côté Barbusse, et comme pour la caverne d'Ali Baba, elle s'est ouverte. Il a aussitôt averti les gardiens. Reste à connaître la suite qui sera donnée.

lundi 31 janvier 2011

Il va bien falloir faire quelque chose...

Des jardinières et des pots de fleurs situés sur le rebord de quelques fenêtres de RdC ont été volés pour être renversés sur des véhicules en stationnement et encore jetés du petit pont sur une voiture (avec dégâts). C'était juste Samedi dernier vers 19 H 30, donc à une heure d'activité dans la résidence. Il faut bien que les enfants s'amusent !

samedi 29 janvier 2011

Bis repetita

On monte en gamme. Cette nuit, ce sont deux Audi qui ont été cassées dans notre parking souterrain. Les voleurs, apparemment gênés, reviendront finir leur besogne.

mardi 25 janvier 2011

Vous avez dit "informations" ?

Qui a été officiellement informé du résultat de la conciliation du 12/10 ? Apparemment personne. Qui a eu connaissance du contenu de la plainte de P. RAGI ? Cela desservirait certainement les jusqu'auboutistes du procès contre Lamy. Personne. Le CS a tendance à oublier (que d'amnésie) que ce n'est pas lui ou sa présidente contre lesquels cette plainte a été déposée, mais contre l'ensembledes copropriétaires (cela s'appelle le SDC : Syndicat des Copropriétaires) De plus, lors des pré-assemblées qui ont actuellement lieu, le CS a trop tendance à affirmer que l'affaire RAGI sera réglée le 31 Mai prochain. C'est assez injurieux vis à vis des copropriétaires car c'est volontairement ignorer la résolution n° 13 de l'ordre du jour de l'AG du 9 février prochain et par voie de conséquence du vote qui suivra.

ça continue

Une Twingo s'est vu dépouiller encore de ses deux phares dans le parking souterrain. On nous dit que les codes seront changés en Juin. Pourquoi pas à Pâques ou à la mi-Carême, ou mieux, aux calendes grecques ? D'ici là...

lundi 24 janvier 2011

ça ne s'arrange pas !

Un copropriétaire qui rentrait dans le parking souterrain côté Barbusse a reçu sur la lunette arrière de sa voiture un objet lourd du type "pot de fleurs" jeté du petit pont de bois qui enjambe cet accès.Sa vitre a été, comme il se doit, brisée. Des traces de terre noire sont encore visibles sur le rambarde du pont côté parking. Soyez prudents, donc.

mercredi 5 janvier 2011

Un vrai moulin..........

Après quelques vols dans les parkings souterrains, cette nuit, au moins une boite à lettres a été cassée pour vol de courrier.

Il serait temps de changer les codes car il semble que notre protection semble avoir atteint ses limites. Avec des inconscient(e)s qui laissent leur télécommande dans leurs voitures.............

samedi 1 janvier 2011

BONNE ET HEUREUSE ANNÉE

Le Collectif des Orchidées vous souhaite à toutes et à tous une bonne et heureuse année 2011.

Que tous vos souhaits se réalisent et que notre chère copropriété retrouve la sérénité qu'elle n'aurait jamais dû perdre.

jeudi 30 décembre 2010

Des voleurs persévérants

Désormais en possession d'une télécommande, les voleurs sont revenus cette nuit pour continuer leur besogne apparemment interrompue. Mais soyez rassurés, grâce à la diligence et au professionnalisme de Pascal RAGI qui avait aussitôt désactivé cette télécommande dérobée, ils n'ont pas pu rentrer.

Ne soyez plus rassurés : jusqu'à quand ?

mercredi 29 décembre 2010

Pas de trêve des confiseurs

Cette nuit, dans le parking souterrain, une Twingo s'est faite dépouiller de ses deux phares une Peugeot 207 a eu une vitre latérale cassée et les voleurs n'ont pu continuer à démonter les roues, sans doute interrompus dans leur travail (!). Un 4x4 a eu aussi une vitre brisée et tout l'intérieur volé.

Dans cette histoire une télécommande de parking qu'un copropriétaire avait laissée dans son véhicule a été dérobée. Comment et combien de temps faudra-t-il le dire ?

Il faudra songer un jour ou l'autre à sécuriser ce parking. Rappelons que le maître-chien a été écarté par une ancienne AG, que la porte Barbusse a été ajoutée a posteriori et que les clés ont été remplacées par des badges. Alors des caméras de surveillance ? Pourquoi pas puisque le câblage des ouvertures peut le prévoir sans trop de travaux.

jeudi 23 décembre 2010

Réfection terrasse bâtiment C

Ces travaux sont apparemment loin d'être terminés, mais ce matin tous les copropriétaires (Bt C) ont eu la désagréable surprise de trouver la facture pour régler le solde, soit les 40% restants. Cadeau de Noël de très mauvais goût. Nous sommes quelques uns à avoir dénoncé dans le passé la désagréable habitude qu'ont les syndics de régler les prestataires extérieurs SANS retenue de garantie ou/et SANS réception des travaux. Jourdan fait un peu mieux : soit il paye l'entreprise qui est loin, semble-t-il, d'en avoir terminé, soit il fait travailler cet argent en attendant. Pour le profit de qui ? En tout état de cause il sera mieux sur nos livrets d'épargne. Les travaux ne sont pas finis, mais un copropriétaire du n° 3 a bien failli mardi dernier être grièvement blessé, ou pire. En effet, une pièce métallique pointue d'environ 60 cm. de long est tombé du toit quelques secondes avant et sur l'exact passage de ce copropriétaire. Signalons qu'à ce moment-là des ouvriers travaillaient au-dessus du n° 3 SANS aucune protection contre la chute d'objets. Les seuls garde-fous sont seulement au droit du n° 1.

mercredi 15 décembre 2010

Où continue-t-on d'aller ??

Des copropriétaires gênés, par le bruit des souffleuses à feuilles mortes, ont empêché les jardiniers de poursuivre leur travail de nettoyage sous leurs fenêtres. Beaucoup d'entre nous ont acheté un appartement dans cette résidence pour, en particulier, ses jardins et ses espaces verts qui restent exceptionnels. Il faut savoir en accepter les contraintes, et si chacun fait sa petite loi dans son coin et se permet de donner des ordres aux prestataires extérieurs, l'anarchie ne devrait pas tarder à s'installer. Ne doutons pas que ces "gênés" n'ont pas manqué de signaler à la mairie de Bagneux que les trottoirs n'ont pas été déneigés. A moins que le bruit des saleuses-déneigeuses ne les aient aussi perturbés

Que fait la police ? Où va notre argent ?

samedi 11 décembre 2010

Le temps judiciaire

Une précision à la note "Où va-t-on ?" Le procès qui avait été intenté au syndic COGESTIM a bien duré les 8 ans annoncés :

Procédure dite "Contrats des gardiens" (Il s'agit là d'une étrange coïncidence) : 9 Novembre 1994, assignation de la société COGESTIM. 22 Novembre 2002 : jugement définitif.

Les frais pour ce procès et pour la seule année 2002 ont coûté 7 400 € d'honoraires d'avocat (Coût horaire = 300 € TTC). Hors frais d'expertise.

OU VA-T-ON ?

Malgré l'absence (d'ailleurs anormale) d'information sur la conciliation qui a eu lieu au Tribunal__ des Prud'hommes de Boulogne le 12 octobre dernier concernant le rétablissement de l'intégralité de la rémunération de Pascal RAGI, tous ceux qui s'intéressent à la vie de la copropriété savent désormais que nous perdrons notre procès au motif principal qu'il est interdit de diminuer un salaire (cf. Code du Travail et article 12 de la Convention Collective Nationale des gardiens d'immeubles, qui a, rappelons-le, force de loi).

Mais que se passera-t-il ensuite ? Tout d'abord, tous ceux qui ont voulu la condamnation de notre Syndicat pour satisfaire leur politique seront satisfaits. Mais l'avenir n'est pas aussi rose qu'il y paraît.

En effet, cette condamnation n'ouvrira pas pour autant la porte à un dépôt de plainte contre LAMY, comme l'a voté l'Assemblée Générale Extraordinaire du 2 Juin 2010. Car afin d'éviter d'être déboutés par le Tribunal de Grande Instance pour ne pas avoir épuisé toutes les voies de recours juridiques, il faudra faire appel. Durée supplémentaire pour une même affaire : 1,5 à 2 ans. Et comme tout appel est suspensif, Pascal RAGI ne touchera toujours rien. Cet état de fait entraînera pour les deux parties des frais supplémentaires non négligeables, surtout pour Pascal RAGI, avec une forte probabilité de voir alourdies en appel nos peines de première instance.

Sur le plan humain (totalement occulté) tous ceux qui connaissent et apprécient le couple RAGI comprendront leur désarroi, voire leur stress que certains, jour après jour, s'occupent d'accroître en tentant de le pousser à la faute ou de provoquer leur départ.

Ensuite, et seulement à ce moment là (nous sommes déjà fin 2012) nous pourrons porter plainte contre LAMY. Ce dernier est prêt depuis longtemps à cette éventualité et s'est constitué un dossier contre lequel il sera difficile de plaider avec succès. Mais soyons optimistes : LAMY perd ? Rien n'est réglé, car LAMY fait aussi appel ! Lamy reperd ? LAMY se pourvoit en Cassation (il en a largement les moyens). Là, nous sommes dans l'obligation de prendre un avocat spécialisé pour acter devant cette juridiction particulière et ceci nous coûtera fort cher.

Nous ne ferons pas l'injure de rappeler aux plus anciens combien de temps a duré le procès contre le syndic COGESTIM en la personne de l'ineffable M. CHATONSKY : huit ans, et encore pour une unique cause !

Nous voilà déjà en 2018 ou 2019.__ Comme le temps passe vite ! Entretemps, tous ceux qui vendront leur appartement devront, au moins moralement, informer leurs acquéreurs de toutes ces actions et des dépenses qu'ils risquent d'avoir à supporter. Mais sommes-nous à l'aise dans toutes ces procédures ? Que nenni !

En effet, les assemblées générales successives ont voté comme un seul homme les budgets prévisionnels et approuvé les comptes qui comprenaient le paiement des indemnités des permanences des week-end pour les 2 gardiens. Et aucun conseil syndical n'avait vu le danger de la chose. LAMY, reprenant ce qui se faisait alors dans notre résidence, a reconduit cette prestation sans se poser de question (mais il ne l'avait pas initiée). Cette situation nous allait tout à fait, car elle nous donnait un sentiment de sécurité et valorisait quelque peu notre patrimoine. Mais comme dit la sagesse populaire, et à juste titre : NUL N'EST CENSÉ IGNORER LA LOI.

Ce qui signifie que le Syndicat des Copropriétaires pourrait être aussi condamné__ (ou débouté) pour avoir indirectement donné son accord sans restrictions, et ce, durant une très longue période.

Que de temps et d'argent dépensés pour une somme ridicule, en moyenne de moins de 2 Euros par appartement et par mois (somme modique qui a d'ailleurs réellement choqué les Conseillers Prudhommaux).

D'autant plus qu'à toutes ces dépenses procédurales, il faudra bien ajouter les charges ordinaires et payer celles, exceptionnelles, qui sont déjà programmées, à savoir : la réfection des dallages extérieurs, la seconde phase de la mise en conformité des ascenseurs et surtout, cerise sur le gâteau, le ravalement de tout ou partie des bâtiments. Ne parlons pas des impondérables, car on peut tout prévoir, sauf l'imprévisible. Alors, il serait bon de commencer à réfléchir et à économiser.

Donc, en dehors de toute considération partisane, et en oubliant ceux qui ont mené croisade pour la suppression de nos gardiens, il est encore temps de réfléchir aux conséquences humaines et financières des actions que certains jusqu'auboutistes veulent continuer à mener. Heureusement, il est encore temps de réfléchir et de tout arrêter : la prochaine assemblée générale peut en être l'occasion.

9 Décembre 2010

Nicole ALTUZARRA, Marie ATGER, Colette BAROUIN, M. et Mme. Alain BENNET, Djoher BENLAMARA, M. et Mme. Christian BONNAFOUS, François BONNIN, Guy BONNARD, Nathalie BOUCHER, M. et Mme. Bernard BOUCHEZ, M. et Mme. Gérard BUNEL, Jacqueline CEVRERO, Gilles DELBOUILLE, Frédéric DESCAMPS, Valérie DESCAMPS, Nicole & Michel DHIE, Eric GUIRAUD, M. et Mme. René HALLU, Michèle & Alain HIRIART, Marc JOURDAN, Roselyne LABORNE, Hervé LABORNE, M. et Mme. Gérard LEBECH, Roger LEFEVRE, Carine MAYA, M. et Mme. De MEDEIROS-ASTRUC, Jocelyne MEHREZ, Alain MIGUEL, Jean-Luc NESTOR, M. et Mme. Jean-Jacques NICOLAS, M. et Mme. Germain PERLES, Jeannette PETYT, Marie-Ange Michel PIERREFITTE, Chantal PREVOTEL, Claudine et Béchir RIAHI, Christiane ROBIN, Pascal SALIO, M. et Mme. Michel TARDIF, Roger TISSOT, Claudine & Jean ZENIODIS

Commentaires

1. Le jeudi 9 décembre 2010 Michel Poltorak

   Je souhaite rajouter ma signature au texte diffusé le 9/12/2010 relatif à la procédure RAGI dans un premier temps et LAMY dans un certain nombre  
   d'années. Nous n'avons pas à nous laisser instrumentaliser par l'ARC dans son conflit avec ce syndic.

2. Le jeudi 9 décembre 2010, 18:35 par Chantal PREVOTEL

   je souhaite rajouter ma signature

3. Le jeudi 9 décembre 2010 par Frédéric et Nathalie FOUCAUD

   Nous rajoutons notre signature à cette note.
   En plus du gaspillage d'argent et d'energie, cette démarche provoque un climat malsain dans notre résidence.
   Merci à Mr et Mme RAGI pour leur excellent travail.

4. Le jeudi 9 décembre 2010, 19:17 par Monsieur et Madame JAVAUD

   Bonjour,
   je souhaite rajouter ma signature et approuve donc les termes du document diffusé le 09/12/2010.

5. Le jeudi 9 décembre 2010, 21:58 par Monsieur et Madame Da Cruz

   Nous rajoutons également notre signature et sommes bien évidemment contre cette procédure lamentable à l'encontre de M. RAGI que nous   
   apprécions.
   Merci

6. Le vendredi 10 décembre 2010, 17:53 par Bourdon

    Bonjour;
   nous sommes solidaire de cette action et ajoutons
   notre signature.
   Bourdon 11 allée des orchidées Bat F

7. Le vendredi 10 décembre 2010, 22:05 par Madame MONNOT

   Bonjour,
   Je souhaite ajouter ma signature.
   Merci

8. Le samedi 11 décembre 2010, 09:31 par Bernard VARNOUX Cabinet Dentaire

   Je suis tout à fait solidaire de cette action.

9. Nous sommes choqués de la tournure des choses et souhaitons ajouter nos signatures, Que de temps, d'énergie et d'argent gaspillés. C'est

   une bien triste démarche et je soutiens tant bien que mal MR et MME RAGI, pour qui l'année 2010 a dû être très difficile.
   Merci pour votre travail et votre gentillesse malgré tout.
   LENIK 1 allée des orchidées bat C

10.Nous soutenons fortement la démarche en faveur de M. et Mme RAGI, et

   souhaitons le rétablissement de leurs droits et de l'intégralité de leurrémunération.
   Nous tenons à souligner leur sérieux, leur assiduité, leur disponibilité et leur conscience professionnelle dans l'accomplissement de leur tâche.
   RIAHI Claudine et Béchir

Le métro à Bagneux

Lorsque les premiers occupants de cette résidence avaient acheté leur appartement en 1976, la responsable du bureau de vente Mme. Rodrigue parlait déjà du métro qui allait arriver. Il est vrai que les promoteurs n'ont peur de rien.

L'excellent magazine "La vie du rail", dans son opus en date du 8 Décembre dernier, publie un article intitulé "RATP. Le prolongement de la ligne 4 atteint la mairie de Montrouge". Après un petit coup de "lèche" à deux de nos ministres qui ont visité le chantier, on apprend que le métro a 6 mois de retard, suite à des problèmes de terrain, et qu'il ne sera opérationnel à la mairie de Montrouge que fin 2012. Bien. Mais pour nous ?

"Envisagé à l'horizon 2018, le prolongement jusqu'à Bagneux pourrait faire bénéficier la ligne d'une interconnexion supplémentaire. Le futur métro automatique du Grand Paris prévoit déjà une correspondance."

Dans cet extrait, il y a quand même deux mots gênants : "Envisagé, pourrait"

Patience, donc (Et espoir)

jeudi 9 décembre 2010

Signatures additionnelles à la note distribuée le 9/12/2010 (Où va-t-on ?)

- "A l'unanimité des médecins ( x 4) du cabinet médical SCI Henri-Barbusse"

- Michel POLTORAK

- Claudine et Béchir RIAHI

- Gisèle COMBE

- Chantal PREVOTEL

- Mme. et M. JAVAUD

- Nathalie et Frédéric FOUCAUD

- Mme. et M. DA CRUZ

- Nicole BOURDON

- Christine MONNOT

- Dr. Bernard VARNOUX

- Isabelle PHUNG

- M. Victor TRÈHOREL

- Mme. FARÈNIAUX

- Mme. MILLIER

- M. LEFAUCONNIER

- Mme. GALLOWAY

- Mme. Léone BAILLY

- Mme. Ch. HADOT

- Mme. AUDINOS

- Mme. Arlette VIGNERON

- Mme. Viviane LE GARREC

- M. et Mme. LENIK VILLEGA

- Catherine MARIE-NOËL

- Madame LAGNEAU

- Madame GUITARD-LAGNEAU

- Mme. Jacqueline VATTIER

- Mme. Véronique LEVALLOIS

- Mme. Brigitte REMY

- M. et Mme. Claude DUBOS

- Martine BEJEAUD

- Pierre JULLIEN

- Ginette CANNESSON

- M. et Mme. GUILBERT

- Pierre HELIE

- Anita MARIE

mercredi 27 octobre 2010

Pour les copropriétaires du bâtiment C

La lettre recommandée envoyée par M. DUVAL adressée au cabinet JOURDAN et jointe au PV de l'AGE sur la réfection de la terrasse du bâtiment C doit être lue avec beaucoup d'attention.

Il semble que la maîtrise d'oeuvre à DUVAL ayant été votée, ce dernier nous informe de restrictions dont il n'a pas parlé en AGE et qui risquent de faire perdre la garantie décennale. Ce n'est pas rien. Or tous les prestataires impliqués ont pu avoir sans restriction accès aux terrasses et pu faire leur devis en pleine connaissance de cause. Les garde-corps ayant été chiffrés en option, cela signifie qu'ils n'avaient pas de caractère obligatoire. Cela commence à sentir mauvais.

Tout commentaire doit être adressé sans retard au syndic, car ces terrasses ont déjà coûté fort cher pour un résultat désastreux.

lundi 25 octobre 2010

Conciliation au Conseil des Prud'hommes

thumb-a-quoi-sert-le-conseil-de-prud-hommes--1854.gif.jpgMadame, Monsieur,
Nous avons souhaité vous informer que, suite à la résolution de l'Assemblée Générale extraordinaire du 2 juin 2010 décidant de ne pas rétablir la rémunération que Monsieur RAGI percevait au titre des permanences qu'il effectuait les dimanches et jours fériés, une « conciliation » s'est tenue au Conseil des Prud'hommes le 12 octobre 2010.

Etaient présents : Monsieur RAGI assisté de son avocate, Maître BONA, Madame CANOVILLE du cabinet JOURDAN, représentant le syndic, assistée de Maître CALLET avocat du Syndicat des Copropriétaires.
Maître BONA a relaté les faits aux conseillers prud'hommaux et notamment que les permanences ont été effectuées durant près de dix ans sans autorisation préfectorale donc en toute illégalité et que la suppression des permanences en novembre 2009 s'est accompagnée d'une réduction de salaire.

Maître CALLET après avoir fait l'éloge du travail de M. RAGI a maintenu la position du Syndicat des Copropriétaires, à savoir « pas de permanences, pas de rémunération ».
Or la Convention Collective des gardiens d'immeuble est très claire en son article 12 : "Dans le cas de modifications techniques ou d'organisation, le contrat de travail pourra être modifié. En aucun cas cette modification ne peut amener une réduction des avantages acquis tant sur le salaire que sur la classification.
Rappelons que Maître CALLET avait conseillé à M. RAGI d'adhérer à une requête commune avec le Syndicat des Copropriétaires. Or cette requête commune n'existe pas. De ce fait, M. RAGI qui ne demande rien d'autre que la restitution du salaire manquant a été contraint d'effectuer une démarche en conciliation.

Les conseillers prud'hommaux ont préconisé un accord amiable à Maître CALLET en insistant sur le fait qu'un jugement coûtera beaucoup plus cher à la copropriété que le rétablissement du salaire de Monsieur Ragi.
Devant le refus d'accord amiable de Maître CALLET, le Conseil des Prud'hommes, marquant son étonnement face au maintien de la procédure pour une somme qui ramenée à chaque copropriétaire est relativement modique, a fixé le jugement au 31 mai 2011.

depense-100-000-euros-pour-faire-l-amour-dix-fois_18214_w250.jpgNous attirons l'attention des copropriétaires sur les coûts déjà induits par cette affaire : frais d'Assemblée Générale extraordinaire (2 500 €) en juin, honoraires de Maître CALLET pour l'AGE (1 471 €), honoraires de l'intervenant de l'ARC (425 €), dépenses qui d'ailleurs n'ont jamais été votées en Assemblée Générale.

Malgré tout, il n'est pas trop tard pour mettre fin à une procédure coûteuse et vouée à l'échec pour la copropriété.



Vous pouvez déposer vos questions écrites si nécessaire chez M. et Mme RAGI. Nous y répondrons individuellement.

Le Collectif des Orchidées, le 25 octobre 2010

Jacky ALOPH, Nicole ALTUZARRA, Martine BEJEAUD, Alain BENNET, Christian BONNAFOUS, Guy BONNARD, Nathalie BOUCHER, Bernard & Marie-Claire BOUCHEZ, Colette & Gérard BUNEL, Gisèle COMBE, Gilles DELBOUILLE, Marie-Louise DE MEDEIROS, Valérie DESCAMPS, Michel & Nicole DHIE, René HALLU, Alain & Michèle HIRIART, Marc JOURDAN, Roselyne LABORNE, Catherine MARIE-NOEL, Jocelyne MEHREZ, Jean-Jacques NICOLAS-FREY, Germain PERLES, Chantal PREVOTEL, Claudine et Béchir RIAHI, Pascal SALIO, Danièle & Michel TARDIF.

Les copropriétaires disposent toujours d’un blog sur lequel ils peuvent s’exprimer. Il suffit de se connecter sur : http://lecollectiforchidees.free.fr/

mardi 19 octobre 2010

Prestataires de service de la résidence

Nous pouvons lire dans le dernier "L'écho des jardins" que le lavage des parkings souterrains a été mal fait. Manque de moyens, manque de résultats, mais prestataire payé.

Nouveau syndic, nouveau CS, mais les vieilles habitudes demeurent ! A vos portefeuilles;

portefeuille.jpg

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